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Infographies World Cup Project

Gloire au football offensif en Coupe du monde

World Cup Project #11. En vingt éditions de la Coupe du monde, les sélections ayant les meilleures attaques ont souvent réussi à aller loin. Elles ont même gagné près de la moitié des titres. Retour sur les sélections les plus offensives du Mondial.

Depuis 1930, l’équipe ayant la meilleure attaque du tournoi est systématiquement présente dans le dernier carré. Difficile de le dire plus clairement : marquer plus de buts que l’adversaire permet d’aller loin dans le tournoi mondial. La défense joue un rôle différent, mais nous en reparlerons. En observant le nombre de buts marqués par match, ce qui corrige les disparités du nombre de matchs joués, le constat est assez semblable : la meilleure attaque par match figure dans le dernier carré 15 fois sur 20.

Le Brésil, maître en la matière

Comme le nombre de titres de champion du monde, le Brésil a terminé cinq fois meilleure attaque de la Coupe du monde. À chaque fois lorsqu’ils ont été vainqueurs (1962, 1970, 1994, 2002), et en 1950, battus par l’Uruguay. L’Allemagne est aussi habituée à truster les premières places du classement, quatre fois depuis 1990. La suprématie germanique est ininterrompue depuis 2006. Suivent ensuite l’Argentine et la France, trois fois chacune. L’Albiceleste lors de ses deux titres (1978, 1986), et de sa chute en finale du premier Mondial (1930). Les Bleus le furent en 1998, ainsi qu’en 1958 et 1982, lorsqu’ils disposaient d’une génération dorée.

On retrouve ensuite des équipes qui ont brillé lors d’une ou deux Coupes du monde. La Hongrie le fut en 1954 avec le record de buts inscris (27), mais aussi en 1938. Les Pays-Bas ne le furent pas avec Cruyff en 1974, mais sans lui en 1978 à égalité avec l’Argentine (15 buts). Le Portugal d’Eusebio, troisième en 1966, fut au-dessus du lot (17 buts), tout comme la Pologne de Lato en 1974 (16 buts). Enfin, l’Italie fut meilleure attaque (eh oui!) une fois, en 1934 à domicile (12 buts). Cependant, avec le plus petit nombre de buts marqués par une « meilleure attaque » (quand même!).

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Les petites recettes pour une meilleure attaque

1930-1950 : 20 ans de 2-3-5

Environ dix ans après la codification du football, en 1863, la Fédération anglaise décrète que tout joueur placé devant le ballon est hors-jeu. Comme au rugby, la passe en avant est donc sanctionnée. Mais devant la profusion d’action individuelle stérile, la FA change la règle : un joueur sera considéré hors-jeu si moins de trois joueurs se trouvent entre lui et la ligne de but adverse. Le jeu de passes se développe, et avec lui les premières tactiques apparaissent. De 1930 à 1950, la plupart des sélections nationales évoluent en 2-3-5, formation héritière du 1-2-7. Cette tactique s’appuie grandement sur le rôle des trois milieux, chargés de marquer les attaquants adverses et de faire le lien entre défense et attaque.

En 1925, l’amendement à la règle du hors-jeu, qui n’impose plus que deux joueurs adverses (dont le gardien) pour être en jeu, influe sur les tactiques. C’est à cette époque que se développe le WM (3-2-2-3). Mais le 2-3-5 continue à être utilisé en Europe (Autriche, Hongrie, Tchécoslovaquie) et en Amérique du Sud (Uruguay, Argentine, Brésil). Les champions du monde et finalistes de 1930 à 1950 évoluent ainsi. En 1934 et 1938, l’Italie s’impose face à la Tchécoslovaquie et la Hongrie en utilisant une variante du 2-3-5, un 2-3-2-3 nommé Il Metodo, fonctionnant en contre-attaque. Cependant, l’Italie est meilleure attaque en 1934 et troisième attaque à égalité quatre ans plus tard.

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La révolution hongroise

Avant le football total néerlandais des années 1970, la Dream team du FC Barcelone des années 1990 et son héritier sous l’ère Guardiola, la Hongrie a enchanté les spectateurs et observateurs du ballon rond. Comme ses successeurs, le système de la Hongrie lui assure une domination nette de ses adversaires, malheureusement jamais récompensée en Coupe du monde. Ce qui deviendra le Onze d’or hongrois voit le jour en 1949, à la nomination de Gusztáv Sebes en tant que sélectionneur. Il va mettre sur pied le 4-2-4, composé de joueurs d’exception. Grosics dans les buts, avec une défense à quatre joueurs, puisque le milieu défensif vient prêter main forte, et dont les latéraux sont chargés de soutenir les ailiers. Deux milieux de terrain (Bozsik et Hidegkuti) alimentent et soutiennent une ligne d’attaque monstrueuse (Puskás, Kocsis, Czibor, Tóth). De quoi (presque) regretter de ne pas être né dans les années 1930-40 pour voir évoluer cette équipe en vrai.

De juin 1950 à février 1956, la Hongrie gagne 42 matchs, pour 7 nuls et une seule défaite. Elle explose aux yeux du monde en 1952, lors des Jeux Olympiques d’Helsinki. Personne ne lui résiste : ni l’Italie (3-0), encore moins la Turquie (7-1) et la Suède (6-0), ni la Yougoslavie en finale (2-0). En 1953, le Onze d’or terrasse l’Italie, la Suisse, la Tchécoslovaquie et l’Autriche lors de la Coupe intercontinentale européenne (* 1 une ancienne compétition qui se déroulait sur plusieurs années entre ces cinq équipes, ancêtre de l’Euro créé en 1960), et inflige à l’Angleterre sa première défaite à domicile avec une belle rouste (6-3). Il faudra une équipe d’Allemagne de l’Ouest bourrée de pervitine, dérivé de la méthamphétamine utilisé par les soldats du IIIe Reich, pour venir péniblement à bout de la Hongrie en finale de la Coupe du monde 1954 (3-2). Le Onze d’or inscrit 27 buts lors de la compétition, un record.

Le 4-2-4 de Sebes reposait sur les mêmes principes du football total néerlandais, à savoir que tous les joueurs pouvaient être concernés par l’attaque et la défense. Le sélectionneur parlait de « football communiste », car il souhaitait que son équipe joue comme un seul homme. Le 4-2-4 repose sur plusieurs éléments : une défense pouvant désormais jouer le hors-jeu, des milieux de terrain encore plus essentiels à la construction du jeu, un attaquant (Puskás, le « Major galopant ») qui décroche pour participer à l’animation offensive, l’autre avant-centre ayant un profil de fixation s’appuyant sur un excellent jeu de tête (Kocsis, dit « Tête d’or »). L’équipe mise sur la possession du ballon pour asseoir sa domination. Le Onze d’or cesse d’exister en 1956, lorsque l’insurrection de Budapest, réprimée par l’Union soviétique, provoque l’exil de plusieurs joueurs hongrois (Puskás au Real Madrid, Czibor et Kocsis au FC Barcelone). Le Major prend la nationalité espagnole et représente la Roja en 1962 au Chili, loin de la réussite de la Hongrie huit ans plus tôt (éliminé au premier tour). De quoi regretter la part sombre du communisme.

Par la suite, le Brésil adopte les principes de 4-2-4, eux qui ont fait les frais de l’opposition avec la Hongrie en quarts de finale en 1954. Les Brésiliens troquent leur WM pour le 4-2-4 en 1958, remportant ainsi la Coupe du monde deux fois de suite puis celle de 1970 avec ce shéma. Le 4-2-4 lui confère la meilleure attaque en 1962 (14 buts) et 1970 (19 buts). À noter qu’en 1958 et 1966, les équipes ayant les meilleures attaques, la France (23 buts) et le Portugal (17 buts), évoluent avec un WM (3-2-2-3). Ces deux sélections reposaient sur un buteur d’exception (Just Fontaine et Eusebio) et leurs défenses étaient assez faibles. Le 4-2-4, ou 4-4-2 offensif, reviendra en grâce en 1994 et 1998 avec le Brésil et la Suède, meilleures ou deuxièmes attaques lors de ces tournois.

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Le 4-3-3, outil du football total

Mis en place à l’Ajax Amsterdam à la fin des années 1960 par Rinus Michels, le football total va permettre aux club néerlandais de dominer les compétitions domestiques et européennes jusqu’en 1973. Exporté à la sélection Oranje, le 4-3-3 va s’imposer. De la même façon que la Hongrie dorée vingt ans auparavant, le système repose sur la capacité des joueurs à dépasser leur fonction. Les débordements sur les ailes, le pressing haut et la possession doivent étouffer l’adversaire. Comme en 1954, la RFA sera le fossoyeur de cette grande équipe, la privant de la victoire finale lors de la Coupe du monde 1974 (2-1). Encore une fois, sans être exempte de soupçons de dopage.

La RFA évolue également en 4-3-3, tout comme la Pologne, troisième en 1974 devant le Brésil, et meilleure attaque du tournoi (15 buts). Mais, contrairement aux Pays-Bas, qui alignent un milieu défensif (Janssen) et deux relayeurs (Neeskens, van Hanegem), l’Allemagne de l’Ouest joue avec deux milieux plus reculés (Bonhof, Overath) et un meneur (Hoeness). De la même façon, la Pologne adapte le 4-3-3 aux qualités de ses joueurs, pas forcément capables d’évoluer selon les principes du football total. Avec un trio de milieux capables de presser et de créer du jeu (Kasperczak, Maszczyk, Deyna), ce dernier étant le meneur attitré. Les ailiers (Lato, Gadocha), aidés par les latéraux (Musial, Szymanovski), percent les défenses adverses soit pour marquer, soit pour alimenter l’avant-centre (Szarmach, suppléant de la star Lubański). Lato est d’ailleurs le meilleur buteur du Mondial 1974 (7 buts), devant Szarmach et Neeskens (5 buts). Le 4-3-3 restera le schéma des meilleures attaques en 1978, avec les Pays-Bas et l’Argentine.

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Le 4-5-1, des artistes maudits au succès

En 1982, les deux meilleures attaques sont la France et le Brésil (16 et 15 buts). Deux sélections promises à marquer l’histoire de la Coupe du monde, qui n’atteindront même pas la finale (même pas les demi-finales pour le Brésil). Elles évoluent toutes deux dans un 4-5-1, plus précisément un 4-2-3-1. Devant la défense à quatre, les deux milieux ont deux profils différents, un récupérateur (Tigana, Cerezo) et un relayeur (Genghini, Falcao). En attaque, un meneur de jeu (Platini, Zico) abreuve les ailes (Giresse et Socrates à droite, Six et Eder à gauche) et un buteur (Rocheteau, Serginho). Ces deux schémas sont très mouvants, car le profil des joueurs au milieux impliquent un certaine liberté. Giresse, Socrates, Platini, Zico pouvaient interchanger leurs positions.

Le 4-2-3-1 mettra plus de vingt ans à rencontrer le succès. La France de 2006 parvient en finale avec ce système, mais surtout l’Allemagne en 2010 et 2014 termine meilleure attaque deux fois de suite dans ce schéma, avec une troisième place et un titre de champion du monde.

 

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Du 3-5-2 au 5-3-2 : le surnombre au milieu

En 1986, l’Argentine évolue en 4-4-2, jusqu’à ce que le sélectionneur, Carlos Bilardo, aligne son schéma mis en place depuis quatre ans : le 3-5-2. Le principe est de densifier le milieu de terrain, pour faciliter la relance des trois défenseurs (Brown, Ruggieri, Cuciuffo). Avec trois joueurs dans l’axe (Batista, Burrachaga, Enrique), le milieu libère Diego Maradona de tout travail défensif. L’avant-centre (Valdano) est un point de fixation capable de décrocher, à l’instar d’un Ibrahimovic de nos jours. Les deux latéraux servent de pistons, oscillant entre l’attaque et la défense. Ce système rencontrera le succès à nouveau en 2002 avec le Brésil, également champion du monde et meilleure attaque du tournoi, sous une forme légèrement différente. On retrouve trois défenseurs (Edmilson, Lúcio, Roque Junior), mais le milieux est composé de deux milieux plus défensifs (Kléberson, Gilberto Silva). Car devant, il y a un meneur de jeu (Ronaldinho) et une paire d’attaquant (Ronaldo, Rivaldo). On retrouve aussi les deux latéraux polyvalents (Cafu, Roberto Carlos).

Face à ce système, l’Allemagne de l’Ouest (1986) puis l’Allemagne presque réunifiée (1990) vont opposer une variante, le 5-3-2. Aux côtés des trois défenseurs (Förster, Jakobs, Briegel) les deux latéraux (Brehme, Berthold) évoluent dans un rôle plus défensif, comme ils le feraient dans une défense à quatre. Deux milieux de terrain (Eder, Matthäus) sont chargés de la récupération et du marquage des joueurs adverses, comme Maradona, tandis qu’un organisateur (Magath) doit trouver les attaquants (Rummenigge, Allofs ou Völler). Si le 5-3-2 ne permet pas à la RFA de battre l’Argentine en 1986, il assure la victoire allemande quatre ans plus tard, face à une Albiceleste décimée par les suspensions, avec la meilleure attaque de la compétition (15 buts).

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Qui mettra fin à la série allemande ?

Les favoris

Meilleure attaque de la Coupe du monde depuis 2006, dans son 4-2-3-1 fétiche, la Mannschaft défendra cette fois un titre de champion. Ce système devrait être reconduit en Russie en juin prochain. Il a en tout cas été prolifique en éliminatoires, avec 43 réalisations en 10 matchs ! L’effectif est assez complet pour parer à toutes éventualités. La défense tient la route, Boateng et Hummels dans l’axe, Kimmich à droite, Plattenhardt ou Hector à gauche, et Süle, Rüdiger et Ginter en réserve. Si Kroos et Khedira semblent bien fonctionner ensemble, Gündoğan a montré des limites face au Brésil en amical, mais Rudy et Can sont en embuscade. En attaque, les solutions ne manquent pas avec Özil, Müller, Sané, Draxler, Goretzka, Stindl, tous capables d’évoluer dans l’axe en meneur ou sur un côté. Reste à voir si Timo Werner, qui devrait occuper le poste de buteur, aura le même mojo que Miroslav Klose en Coupe du monde. Sandro Wagner et/ou Mario Gomez. Et on ne parle même pas de Younes, Gnabry, ou Brandt

Le Brésil, favoris en quête de rédemption, ne manque pas d’argument. Le sélectionneur, Tite, a monter un 4-3-3 très efficace, auteur de 41 buts en 18 rencontres lors des éliminatoires, soit 2,3 par match. Pouvant compter sur un avant-centre de talent, Gabriel Jesus ou Roberto Firmino (infiniment supérieurs à Fred et Jô qui se relayaient en 2014), une des forces de ce Brésil devrait être son milieu. Avec Paulinho, Fernandinho et Casemiro, la Seleção dispose de trois profils polyvalents, pouvant assurer la récupération et la relance avec talents. Face à des adversaires plus accessibles, comme lors du match contre la Russie le 23 mars, le Brésil peut placer des joueurs plus offensifs au milieu (Coutinho a été aligné, mais on peut penser à Fred ou Taison) à côté d’une sentinelle (préférentiellement Casemiro). Contre l’Allemagne, Tite a placé Casemiro devant la défense, épaulé par Paulinho et Fernandinho. Devant, Neymar sera l’attraction principale sur le côté gaiche, et les solutions ne manquant pas pour occuper l’aile droite ou suppléé le prodige (Willian, Douglas Costa, Coutinho, Renato Augusto).

Les outsiders

Avec 36 buts en éliminatoires et la récente démonstration face à l’Argentine (6-1), difficile de ne pas citer l’Espagne dans les candidats au titre de meilleure attaque. La Roja évoluera dans son 4-3-3 habituel. Renouvelé, cependant : exit Xabi Alonso, ménagé Busquets et Iniesta. Le milieu espagnol voit de plus en plus souvent Thiago Alcántara et Koke. Globalement, le jeu de l’Espagne évolué, passant du dogme de la possession du FC Barcelone au jeu plus directe du Real Madrid. Avec des joueurs comme Isco, David Silva, Asensio ou Vazquez, la Roja compte beaucoup plus sur des contres fulgurants que par le passé, tout en ayant la capacité technique de tenir le ballon. Quant au poste d’avant-centre, Diego Costa et Rodrigo ont montré des bonnes choses, tout comme Morata face aux « petites sélections ».

Qu’attendre de l’Argentine ? Tout semble dépendre de Lionel Messi. Le sélectionneur, Sampaoli, l’a bien compris : après des éliminatoires pénibles où l’Argentine n’avait marqué que 16 petits buts en 16 matchs, le Chilien a troqué son 3-4-3 pour un 4-2-3-1, centré sur la Pulga. Résultats, un premier nul face au Pérou (0-0), puis une victoire contre l’Équateur pour arracher la qualification (3-1), avec un triplé de(du) Messi. Depuis, le système est resté. En l’absence de son héros contre l’Italie, cela a fonctionné grâce à un grand Di María (2-0). En revanche, l’Albiceleste a sombré contre l’Espagne (1-6). A priori, l’Argentine ne fera une grande Coupe du monde, et pourra faire partie des meilleures attaques, qu’à la faveur d’un grand Lionel Messi.

Enfin, l’équipe de France, bien cotée pour le Mondial russe. Son système devrait osciller entre le 4-4-2 et le 4-3-3, ce dernier devant avoir l’avantage dans les grandes oppositions. Loin d’avoir une identité marquée comme le furent les grandes équipes évoluant en 4-3-3 (Pays-Bas et Pologne 1974, FC Barcelone de l’ère Cruyff à Guardiola), les Bleus ne devraient pas non plus osé un déséquilibre proche du 4-2-4 qui fit les grandes heures de la Hongrie et du Brésil. Pourtant, les joueurs à disposition pourraient autoriser l’un ou l’autre : soit ouvrir sur l’attaque, avec des joueurs de côtés bons dribbleurs, un duo d’attaque complémentaire et deux milieux récupérateurs et bons relayeurs, soit pratiquer un jeu basé sur la possession et un fort pressing ou un jeu direct capable de prendre l’adversaire à revers grâce à des joueurs rapides. Au lieu de cela, les Bleus de Deschamps s’attachent surtout à rester adaptables plus qu’à imposer leur style, et à éviter la défaite plus que tout. Mais après tout, la France de 1998 a été meilleure attaque avec une tactique défensive en 4-3-2-1. Et on se souvient de l’issue de la compétition…

Crédit photo :

Wikipedia Commons, Rossem, Wim van / Anefo, National Archief, Nándor Hidegkuti and Ferenc Puskás during a football match between Amsterdam XI and Budapest XI, Licence CC3.0

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